
Avé ! Je suis d'accord, je pensais l'avoir exprimé dans la suite du paragraphe mais j'ai du m'embrouiller les pinceaux avec le clavier. Le plaisir composant de l'acte sexuel (Heureusement !) D'ailleurs en relisant ma phrase, c'est e que je voulais exprimer. Le sexe ne peut pas que servir à la reproduction. J'ai compris par la suite, que tu pensais que le plaisir supportait la reproduction est la permettait. Mais là encore il me semble que le plaisir (sexuel) existe en dehors de la considération "reproduction", d'où l'érotisme, la pornographie, les moyens de contraceptions... ! Fin bref, c'est pas clair tous ça, mais je crois que nous somme d'accord.Aragathis a écrit :Je suis entièrement contre cet avis : imagine une seconde que nous ne ressentions aucun plaisir à l'acte sexuel. Je ne sais plus qui a dit un jour, me précédant dans cette réflexion, que "sans cela l'acte serait somme toute fort incongru" et pas intéressant du tout. Imagine une deuxième seconde, et remercie la nature de t'avoir donné la carotte qu'est le plaisir. Sinon, on n'aurait plus eu d'enfant depuis des millénaires.

D'accord pour la science alors. Et pi pour les constructions mathématique trop complexes aussi....

Hein ? Quoi ? Que ? Où donc ?! Pitié pas de conclusions hâtives chez moi, je vous en supplie... je n'aime pas ça.Scarabouille a écrit :mais tu peux être amené à amener quelques conclusions un peu hâtives

Et je ne sais rien en effet.
"Si j'ai bien tout lu Freud..." Scarabouille tu opte pour l'amour comme condition de notre société pour être considéré comme un humain dans la norme. Et même plus large condition de la civilisation humaine totale à la fois dans l'espace et dans le temps ? (Suis pas sur d'être dans le juste là.)
Le célibat existe. Et je ne pense pas que les célibataires (consacrés ou non) soit considérés comme hors-norme. (peut être les consacrés !Scarabouille a écrit :Ou bien parce que notre société a évolué de telle sorte qu'au final on ne puisse réellement envisager mener une vie sans conjoint, foyer, famille ?

L'amour d'un couple est, pour moi, à la fois le coté Eros et Agapé, mais l'un sans l'autre il n'y a pas d'amour (pour un couple, pas entre camarade, ami, copain, frères...) Ou alors un amour "bancal" Comment expliqué que certain couple reste mariés une vie (de façon heureuse j'entends, ni forcé par les convenances, ou par le fric) s'il n'y avait que le sexe, ou que la camaraderie ? La passion du début dure, aller trois ans au mieux, puis commence le temps de l'effort (enfin j'imagine) où la relation peut être plus difficile, et ou peut subvenir les ruptures. Bon tout ça je le présente sous forme d'affirmation, mais je me le pose sous forme de question, je ne veux pas paraitre donné de conclusion ni ma pensée. Je cherche que penser à vrai dire.Scarabouille a écrit :Car je me dis, si d'un côté il y a la part de plaisir/passion (le côté sexuel, quoi), je suis parfois amené à considérer le côté relationnel "mental" comme une sorte de camaraderie, finalement. Comme un/une amie, avec qui on a une particulière affinité. Sauf qu'en y ajoutant le côté physique, en fonctions de nos attirances, cela va jouer dans notre "choix" de ce "camarade".
Mais évidemment qu'on sait que tu réfléchis ! C'est pas facile de faire rire (pour les autres sujets !) et de donner des conclusions de ce type (je suis partit pour méditer la soirée grâce à toi...)Scarabouille a écrit :j'espère que vous voyez (un peu) sur quoi je réfléchis aussi.
