Références, figures de style et détails du Tome 3
Nous révélons ici les références littéraires, cinématographiques, historiques explicites ou cachées de l'album.
Les détails relevés sont une partie du texte ou du dessin qui sont humoristiques ou remarquables ou qui font un clin d'œil interne à la série.
Enfin nous recensons les figures de style.
Merci aux nombreux contributeurs qui ont enrichi cette page !
Si vous avez remarqué d'autres anecdotes, vous pouvez nous les envoyer pour que nous les ajoutions !
Détails du Tome 3
Page 1 :
Notez la mise en abime théâtrale des premières cases qui conforte notre opinion évoquée plus haut : les trois coups sont donnés par Lope sur sa coquille Saint-Jacques géante ; et les rideaux de la p. 16 du tome 2 sont remplacés à droite par un amas de varech.
Et dans le tome 4, p. 40, ils le sont par les concrétions rocheuses de la grotte des Sélénites.
Page 3 :
Il y a un crabe sur la scène qui fait aussi son numéro après les trois coups ! Faut-il aller jusqu'à imaginer que c'est le même qui réveille Armand sur la plage, en page 25 ?
Lorsque don Lope dit en voyant le parchemin écrit en cananéen : « Quels sont ces glyphes abscons ? », il amorce une série de références internes : en effet, il reprend cette phrase aussitôt après en voyant le parchemin français : « Quels sont ces... Ah, tiens ! C'est du français ! » ; puis à nouveau dans le tome 4, p. 27 : « Quels sont ces... – Cananéen. »
Page 4 :
Eusèbe est tout dépité de n'avoir pas pu garder le contrôle du navire (avant-dernière case).
Page 5 :
Le passage que lit Eusèbe aux cinq premières cases fait référence à Moby Dick.
À remarquer, l'ombre sous-marine du monstre marin dans la dernière case.
Pages 8 et 9:
On voit dans la quatrième case de la p. 8, Armand et Lope tenir leur sabre de la main droite, puis de la main gauche deux cases plus loin tandis que chacun tient une corde de la main droite ; et dans la première case de la p. 9, Armand tient à nouveau son sabre en main droite ! C'est ce changement de main en vol, compliqué par la garde du sabre, qui semble le plus problématique. De plus le temps de la sixième case de la p. 9 Armand redevient gaucher en plein combat !
Observez également Eusèbe en squelette (jusqu'à la page 17), formidable et en pleine forme sur toute la planche. Notamment entre les cases 2 et 3, où il passe de la tête d'un pirate au haut du cordage ou grimpait Armand.
Par ailleurs, au moment où la trappe se referme, l'un des pirates doit certainement avoir très, très mal aux doigts.
Page 10 :
Le poignet gauche d'Hermine perd un anneau sur trois entre les deux actes.
Les deux anneaux qui lui restent disparaissent momentanément dans la cinquième vignette de la page 18, pour réapparaître aussitôt après, mais au poignet droit.
Page 11 :
Il est amusant de voir que Lope prédit à Armand, pour le consoler, exactement tout ce qui va arriver par la suite dans cet album : « Allons, amigo ! Haut les cœurs ! Nous avons un trésor à conquérir ! Songez à tous les périls qui nous attendent encore ! Ces forbans, dans la cale, ourdissant déjà quelque félonie... Des mers hostiles ! Les éléments déchaînés ! Un naufrage, peut-être ! – Des cannibales ? Il y aura aussi des cannibales ? – Par centaines ! ».
Page 16 :
Belle performance technique de Monsieur de Cigognac, qui s'amuse à faire le pied de grue sur sa jambe de bois !
Page 17 :
La barbe du Raïs Kader disparaît dans la troisième case (« El-Hamdou Li'llah ! ») pour réapparaître dans la suivante !
Page 19 :
Le tentacule coupé du poulpe est à l'arrière, vers sa droite, alors qu'il était vers l'avant dans le tome 2 et qu'il l'est de nouveau lors de la chute dans le gosier du monstre.
De plus le rostre du monstre marin ne semble plus transpercer le Hollandais Volant...
Page 21, case 6 :
Au moment ou il tombe dans la bouche du monstre marin, le Raïs Kader dit "Yasmina" et son regard semble dirigé droit sur... Hermine (case 5). Cela renforce l'une des thèses comme quoi Hermine serait en fait Yasmina, la fille de Kader.
Page 22, case 6 :
Andreo s'est coincé les cheveux dans le gouvernail, heureusement qu'il les aura encore à la case 5 de la page 23 !
Page 23, case 2 :
On peut remarquer Plaisant avec un couteau et une poignée de cheveux d'Andreo dans la main.
Page 23 :
Encore une fois, on devine l'ombre du monstre marin qui plonge vers les profondeurs...
Page 24, case 2 :
Andréo a un poisson dans la bouche.
Page 26, dernière case :
on aperçoit une des bouteilles au trésor échouée sur la plage et recouverte d'algues.
Page 28 :
On peut observer le mécanisme de l'ascenseur de Bombastus ! Il semble cependant difficile de s'élever d'une seule main avec un tel engin.
Pages 28 à 33 :
Bombastus a la dentition en mauvais état (sauf page 31 en bas à gauche où il sourit de toutes ses dents), mais en plus le nombre et la position des chicots qui lui restent sont très variables !
Page 31 :
À lire sur les plans de Bombastus, non seulement des équations farfelues, mais aussi sa liste de choses à faire ("nettoyer la cabane", "faire la lessive"...) !
Page 32, case 7 :
Bombastus à un certain air de L'oncle Sam ! Parodie du dessin I want YOU for U.S. Army de James Montgomery Flagg illustrant la Une du journal Frank Leslie's Illustrated Weekly du 6 juillet 1916. Bombastus s'exclame: "J'aurai besoin... de vous !" (Le -J'aurai besoin...- se situant dans la case 6).
Page 33 :
La voilure du Vespertilion Fulminant est faite de chemises, chaussettes, calecons (ayant appartenu à Bombastus) cousus ensemble !
Page 36, case 4 :
Andreo se recoiffe.
Page 37, case 6 :
Boney Boone n'a plus de cicatrice à l'œil droit.
On peut remarquer également qu'il tient encore dans sa main droite l'oreille du vieillard édentée de la case n°1.
Page 38 :
Légère incohérence : Sabado ne porte pas encore sur le dos les traces des coups de fouet reçus lorsqu’il était esclave et qu’on découvre dans le tome 4, page 4, case 5 (également p. 7, cases 2 et 4).
Page 39 :
On aperçoit dans le ciel de la dernière case la fuite du pélican que don Lope a rudoyé dans la case précédente.
Par ailleurs, les trois aventuriers sont visibles dans la même case à gauche, en ombre chinoise, dans la forêt.
Page 41 :
A l'avant dernière case la pou... le perroquet de Lord Boone a disparu, il reviendra pourtant à la case 1 de la page 42 pour redisparaître aux cases 2, 4 et 6.
Page 42 :
Page précédente, Cigognac herborise et cite le nom latin de la jacinthe des bois (Endymion nutans) et, dans cette page, baptise l'arbre à fromage du nom joliment forgé d'Emmentalus sylvestris...
Cet arbre à fromages a logiquement attiré une demi-douzaine de petites souris sur ses racines.
Dans la dernière case, on découvre un étrange cousin de l'arbre à fromages qui, en guise de fruits, porte des oeufs d'où éclosent des poussins...
Page 43 :
Les sauvages nombreux autour de l'arbre de la première case semblent avoir mystérieusement disparu dans la case suivante, permettant à nos héros de s'y regrouper.
Page 44 :
Qui est cet enfant aux cheveux noirs et tressés qui s'effraye en voyant don Lope, si ce n'est le fils de Sabado ? Bien malin celui qui l'aurait deviné avant que ne paraisse le tome 4, d'autant qu'il n'y apparaît plus !
Quant aux totems surmontés de croissants de Lune, ils évoquent bien entendu le culte que vouent les autochtones à l'astre lunaire.
Page 45 :
La plume avec laquelle Boone a rédigé le contrat de « chasse-partie » a été en fait "empruntée" à Cigognac, puisque Boone lui dit qu’il la lui rend, en assez mauvais état d’ailleurs...
Page 45, case 11 :
Le pirate qui distribue les instruments de musique est le même qui avait redistribué les armes page 36 case 6.
Page 46 :
Les pirates donnent un concert à la manière des Stones ou des Who ! La vielle tient lieu de guitare solo, le mégaphone de sono, la mandoline de guitare rythmique et le batteur se défonce à l'arrière. Certains pirates font même du stage diving et du crowd-surfing.
On peut remarquer au milieu de la foule des pirates Monsieur de Cigonac complètement déchaîné !
Bombastus cherche un moyen de diversion pour sauver nos deux héros: "provoquons une éclipse ! Non, c'est idiot..." fait bien évidemment allusion à la parade inespérée de Tintin et Le Temple du Soleil...
Page 47 :
Certains masques des indigènes de l'île pourraient avoir été inspirés par les dieux sélénites qu'ils révèrent : on voit en effet un masque qui a le profil d'un croissant de lune (case 1, personnage en train de préparer la sauce), et deux masques (case 6, les deux personnages qui dansent au premier plan) dont la bouche insatisfaite rappelle (ou annonce) le masque que les Sélénites prendront pour manifester leur mécontentement devant la qualité de la farce...
De plus, le personnage de gauche de la case 6 porte un costume qui ressemble singulièrement à celui de "mon ami Pierrot" (larme, collerette), personnage clairement associé à la Lune.
On remarque également que Bombastus, tout en réfléchissant à une solution pour aider Lope et Armand, participe sans s'en rendre compte, à la danse autour de la marmite.
Dernière page :
Un poulpe qui fait "snif, snif" !
Références du Tome 3
En couverture :
Les trois croquis de l’arrière-plan sont un clin d'œil à ceux de Léonard de Vinci.
Page 5 :
Armand regardant un crâne est un clin d'œil au Hamlet de Shakespeare : « To be or not to be… »'' ... sauf que la scène où Hamlet regarde pensivement un crâne (Acte V scène I) n'est pas celle du fameux soliloque (Acte III scène I).
La lecture par Eusèbe des dernières phrases du journal de bord est un clin d'oeil au Seigneur des Anneaux, lorsque Gandalf lit les dernières lignes du journal dans la Moria - la phrase "ils arrivent" étant remplacée par "elle souffle".
"Elle souffle ! Elle souffle !" du Journal de bord est aussi une référence à Moby Dick, d'H. Melville, où l'un des marins crie ces mots lorsqu'il repère la fameuse baleine : son évent sert de point de repère à l'équipage qui la traque infatigablement.
Page 8 :
L'attaque d'un bateau par des hommes entourés de cadavres et se faisant passer pour les marins du Hollandais volant est un procédé décrit par Mac Orlan dans son livre de pirates Les clients du Bon Chien Jaune.
Page 9 :
Probable référence à L'Enfer, de Dante : Le vers d'Armand « Mais avant qu'à son seuil vous laissiez l'espérance » reprend presque textuellement la phrase inscrite au fronton de la porte de l'Enfer chez Dante : « Vous qui entrez, laissez toute espérance ! ». D'ailleurs, au bas de la page, Armand évoquera cette funeste porte.
Page 17 :
Eusèbe parodie le capitaine Haddock lorsqu'il annonce "un sacré coup de tabac, mille sabords de neptune".
Page 21 :
La chute de Kader et Eusèbe dans la gueule du monstre marin rappelle le sort de Pinocchio ou celui de Jonas dans la Bible…
Page 26 :
Lorsque le loup dit : « Grand pendard de turc ! », c'est bien sûr une nouvelle référence aux Fourberies de Scapin, jouées dans le premier acte et dont cette réplique est elle-même dite en page 4 : « Ah ! Le pendard de Turc, m'assassiner de la façon ! ».
Page 29 :
Le titre de l'ouvrage de Bombastus est une référence directe au livre de Copernic De revolutionibus orbium cælestium ?
Le nom du savant aurait pu être inspiré par Albrecht Ludwig Berblinger (1770-1829), tailleur de son état en la bonne ville d'Ulm en Allemagne. Il s'était mis en tête de construire une machine volante, et son essai se termina dans la Donau (le Danube)… Cependant Alain Ayroles s'est amusé de la coïncidence mais ne le connaissait pas ! Il s'agit donc finalement d'une référence à un sketch des Monthy Python.
Page 30 :
Le projet de bâtir un théâtre à Vera Cruz rappelle le film Fitzcarraldo de Werner Herzog, où il s’agit de construire un opéra au cœur de l’Amazonie.
Page 31, case 8 :
Il y a une pseudo-machine volante avec une noix de coco en guise de corps : il s'agit peut-être un clin d'oeil au film des Monthy Python Sacré Graal où l'on se demande comment une noix de coco pouvait être arrivée en Angleterre…
Page 32 :
La référence à Jules Verne est transparente lorsque Bombastus dit : « Je vais enfin pouvoir percer le secret de cette île que je n'hésiterai pas à qualifier de mystérieuse ! ». Il y a en effet dans L'Île mystérieuse un volcan et des sauvages. Mais on peut surtout remarquer que dans les deux cas, les héros s'écrasent sur une île : « Nous tombons » (p. 35) sont les premiers mots du roman.
Par ailleurs l'attitude de Bombastus pointant un doigt vers le lecteur fait penser aux fameuses affiches qui durant les deux conflits mondiaux incitaient au recrutement. La première d'entre elles était celle de Lord Kitchener, ministre de la Guerre du Royaume-Uni, publiée en 1914 et affichant : « Britons wants YOU. Join your country army ! ». Puis elle a été adaptée en Italie, en Allemagne, en Hongrie, en Russie, puis aux Etats-Unis en 1916, c'est l'image célèbre de l'oncle Sam qui dit dans la même position « I want YOU for US Army » (à rapprocher donc des mots de Bombastus).
Page 38 :
Armand traite Bombastus de "gypaète ostéoclaste" puis de "psychopompe barbu" : le gypaète renvoie bien sûr à l'oiseau ; "ostéoclaste", mot inventé par Armand à partir des racines grecques "ostéo-", os, et "-claste", briser, est assez significatif vu les circonstances ; enfin, "psychopompe" signifie "conducteur d'âmes" (ψυχή, l'âme, et πέμπω, accompagner) et est une épithète du dieu grec Hermès, chargé de guider les âmes des morts jusqu'aux Enfers après leur décès.
Page 31 :
La dernière case est peut-être un clin d'oeil envers Robinson Crusoë de Daniel Defoe, d'autant plus que nos héros croient d'abord qu'il s'agit d'un naufragé… qui n'en aura plus du tout l'air page suivante, armé d'une lance et affichant un méchant sourire.
Page 41 :
Les statues dans le style île de Pâques sont une référence à une aventure de Pépito dans laquelle figurent de telles statues. [merci à Alain Ayroles !]
La fleur qu'observe Cigognac dans la dernière case porte bien le nom scientifique d' "Endymion nutans", ce qui est une première référence à la lune après le débarquement des pirates dans les îles Tangerines... En effet, le berger Endymion à qui la plante doit son nom (en raison de son aspect "endormie", car dans le mythe, Endymion se trouve plongé dans un sommeil éternel) est l'amant de la déesse de la lune (appelée Séléné, Phoebé ou Artémis).
Page 43 :
Une vignette permet de voir Bombastus se demander si un point a été envisagé lors de la "Controverse de Valladolid".
C'est un événement réel, de 1550, ayant eu lieu dans la ville espagnole de Valladolid. Il s'agit d'un débat, organisé par l'Empereur Charles Quint, pour savoir quel devait être le statut à accorder aux indigènes découverts lors de la conquête du Nouveau-Monde. Ces indiens appartiennent-ils à l'Humanité ? Si oui, quel traitement doit leur être réservé ?
Lors de cette controverse, opposèrent leurs arguments, d'un côté, Bartolomeo De Las Casas, dominicain, défenseur des Indiens, bête noire des colons et, de l'autre côté, Juan Ginès de Sepúlveda, meilleur helléniste de son temps et grand commentateur d'Aristote, chanoine de Cordoue, confesseur de l'Empereur, partisan de la conquête et de l'usage de la force contre les mêmes indiens.
Chacun fournit donc ses arguments à un collège de quinze juges, théologiens et "experts" sur le Nouveau-Monde, sur des questions comme : "est-il légitime de réduire des indiens en esclavage pour sauver les vies de ceux qu'ils immoleraient à leurs idoles ?". Il n'y eu pas vraiment de vainqueur à l'issue du débat. Si les thèses défendues par Las Casas semblèrent l'emporter, la situation sur le terrain n'évolua quasiment pas. L'esclavage ne disparaîtra vraiment qu'au XVIIe siècle.
Page 45, dernière case :
Demain dès l'aube je partirai... est un poème de Victor Hugo bien connu.
Page 46 :
L'idée des os servant de points de repère est directement reprise de ce que fit le terrible capitaine Flint dans L'Île au trésor de Stevenson.
Page 46, dernière case :
Demain dès l'aube je partirai... est un poème de Victor Hugo bien connu.
Page 47 :
Un sauvage est affublé d'une collerette et d'un masque sur lequel figure une larme au coin de l'oeil gauche. Ce doit être l'ancêtre ou du moins un lointain cousin de "mon ami Pierrot" qui est souvent représenté avec ces attributs !
Page 48 :
Référence à Tintin (Le Temple du soleil) lorsque Bombastus s'évertue à trouver une solution pour sauver les gentilhommes et qu'il dit : « Il faut les impressionner ! Provoquons une éclipse !… »
Dans la septième case se trouve Rahan, le fils des âges farouches (premier rang, troisième personnage en partant de la gauche). [merci à Jean-Luc Masbou !]
Figures de style du Tome 3
Page 6 :
Les îles Tangerines sont recouvertes d'une chape de mystère et d'effroi.
Page 10 :
Douce Tigresse (oxymore).
Page 16, case 4 :
Double effet de style à la fois visuel et textuel. En effet, il y a gradation croissante dans la "violence" des menaces des 5 premiers pirates, puis chute cocace dans la dernière réplique. Les pirates se rapprochent du premier plan successivement, dans une expression de rage : "tout ça va se payer", "ouais", "va y avoir de la viande froide", "du sang !", "des tripes !" -Mais où sont donc passé nos irrésistiblement idiots de pirates ?-, "des excuses !" Ah, il sont là...
Page 23 :
Un canon et deux canidés à la mer (allitération).
Page 33 :
- Et heu... ça vole ? Un peu que ça vole ! Du moins sur le papier.
Page 47 :
Lâchez-moi, ou il vous en cuira ! (ironie quant au sort que réservent les cannibales à Don Lope)
Page 48, case 7 :
"nous quitterons la cène" (Armand). Ethymologiquement la cène vient du latin "cena", qui était le repas principal de la journée des romains (en outre, cena signifie "dîner" en italien).
On n'utilise aujourd'hui le mot que pour désigner le dernier repas de Jésus avec ses apôtres.
En outre, vous avez sans doute deviné le jeu de mots qu'il y avait derrière cette réplique, ce qui nous rappelle l'importance du théâtre dans De cape et de crocs.
Découvrez les références, figures de style et détails du Tome 4 :
Ajouter un commentaire